poémes
2 participants
funchat :: BLABLA :: ACTUALITES :: littérature
Page 1 sur 1
poémes
Elle était là, la belle au
bois... Son camembert dessous le bras
Attendant quoi je ne sais pas... Une chose est sûre ce
n'est pas moi
Ô dis la belle que fais-tu là ?... Lui demanda
le petit rat
J'attends quelqu'un ne vois-tu pas... Un
dénommé Amin Dada
Un dénommé Amin Dada ?... Lui rétorqua
le petit rat
Des heures durant tu attendras... Je sais bien qu'il ne
viendra pas
Toi qui sais tout dis-moi pourquoi ?... Mon gros
toutou mon gros dada
M'aurait posé ce lapin là... Je ne
mérite vraiment pas ça
Il m'a trompé le scélérat... Et moi qui
là fais les cent pas
Mon camembert dessous le bras... Depuis tôt ce matin
déjà
De désespoir ses bras leva... Mais par ce geste
maladroit
Le camembert dégringola... Pile dans la gueule du
petit rat
D'une seule bouchée il l'avala... Il en mourut sachez
pourquoi
Car le fromage très mûr déjà...
Sentait vraiment mauvais ma foi
FIN
Moralité:
Si vous
convoitez un bien d'autrui, assurez vous qu'il n'est pas
périmé.
bois... Son camembert dessous le bras
Attendant quoi je ne sais pas... Une chose est sûre ce
n'est pas moi
Ô dis la belle que fais-tu là ?... Lui demanda
le petit rat
J'attends quelqu'un ne vois-tu pas... Un
dénommé Amin Dada
Un dénommé Amin Dada ?... Lui rétorqua
le petit rat
Des heures durant tu attendras... Je sais bien qu'il ne
viendra pas
Toi qui sais tout dis-moi pourquoi ?... Mon gros
toutou mon gros dada
M'aurait posé ce lapin là... Je ne
mérite vraiment pas ça
Il m'a trompé le scélérat... Et moi qui
là fais les cent pas
Mon camembert dessous le bras... Depuis tôt ce matin
déjà
De désespoir ses bras leva... Mais par ce geste
maladroit
Le camembert dégringola... Pile dans la gueule du
petit rat
D'une seule bouchée il l'avala... Il en mourut sachez
pourquoi
Car le fromage très mûr déjà...
Sentait vraiment mauvais ma foi
FIN
Moralité:
Si vous
convoitez un bien d'autrui, assurez vous qu'il n'est pas
périmé.
Re: poémes
j'peux poster une tite dedicasse a une fille que j'affectionne a ma manière ^^ ??
elle s'prend trop pour une caille
1m10 les bras levés
avec son haleine de chacal
1m10 les bras levés
elle s'habille comme une pouff
1m10 les bras levés
avec son p'tit string de ouff
1m10 les bras levés
une de ces meuf qui s'la pète
1m10 les bras levés
on va lui scratché la tète
1m10 les bras levés
voilaa tit squattage au passage trop beau s'ke ta écrit seb petit poète en herbe (ya des rime aussi la ^^)
elle s'prend trop pour une caille
1m10 les bras levés
avec son haleine de chacal
1m10 les bras levés
elle s'habille comme une pouff
1m10 les bras levés
avec son p'tit string de ouff
1m10 les bras levés
une de ces meuf qui s'la pète
1m10 les bras levés
on va lui scratché la tète
1m10 les bras levés
voilaa tit squattage au passage trop beau s'ke ta écrit seb petit poète en herbe (ya des rime aussi la ^^)
Re: poémes
voisin quelque poeme que jai ercis
-quelques fois colerique,tres emotive
-tu parrais inpresionante
-mais au fon de toi tu es si douce
-tu conprent tout,avan les autres
-tu recherche de la tandresse et de lamour
-tu es si sensible
-tu franchi la vie
-comme une conquerente
-sans jamai baisser les bras,tu et formidable
-continu ainsi,vis ta ta vie
-avc force et bonheure
pour toi,je donnerai ma vie
ma vie,pour ta survie,la mort ne me fait pas peur
meme si elle provoque parfois mes pleur
pour toi,je me rendrais en enfer
et affronterais meme mon pere
je pourai y laiser mon ame
car pour toujour je taime
pour toi,j'escalederais monts et montagnes
oui,la plus haute des montagnes
pour te montrer la grandeur de mon amour
et te le demontrer pour toujour
pour toi,je ferai ninporte quoi
cela fait 6 mois que je taime
mais pour toi cest du parrielle o meme
a tes yeu ,je suis seulement
un amis,un simple amis ,justement
je voudrai avancer,mais jai peurde te frustrer
alors notre relation,sans intervention
ne bougera pas ,pas dun seul pas
mais je ne veu pas en rester la
je songe a intervenir
tel et mon desir
mais je reste sans rien fair
attendan en clair
que tu facce le premeir pas
meme si je sais que sa ne se passera pas
jesper encore et encore
peut etre un jour encor
je me lancerai,les yeu fermés
dans lespoir,de croire
en notre amour,ou un jour
qui c'est ,avancera
mais jai quelque doute
en outre
de cette histoire
mais il faut bien y croire
-quelques fois colerique,tres emotive
-tu parrais inpresionante
-mais au fon de toi tu es si douce
-tu conprent tout,avan les autres
-tu recherche de la tandresse et de lamour
-tu es si sensible
-tu franchi la vie
-comme une conquerente
-sans jamai baisser les bras,tu et formidable
-continu ainsi,vis ta ta vie
-avc force et bonheure
pour toi,je donnerai ma vie
ma vie,pour ta survie,la mort ne me fait pas peur
meme si elle provoque parfois mes pleur
pour toi,je me rendrais en enfer
et affronterais meme mon pere
je pourai y laiser mon ame
car pour toujour je taime
pour toi,j'escalederais monts et montagnes
oui,la plus haute des montagnes
pour te montrer la grandeur de mon amour
et te le demontrer pour toujour
pour toi,je ferai ninporte quoi
cela fait 6 mois que je taime
mais pour toi cest du parrielle o meme
a tes yeu ,je suis seulement
un amis,un simple amis ,justement
je voudrai avancer,mais jai peurde te frustrer
alors notre relation,sans intervention
ne bougera pas ,pas dun seul pas
mais je ne veu pas en rester la
je songe a intervenir
tel et mon desir
mais je reste sans rien fair
attendan en clair
que tu facce le premeir pas
meme si je sais que sa ne se passera pas
jesper encore et encore
peut etre un jour encor
je me lancerai,les yeu fermés
dans lespoir,de croire
en notre amour,ou un jour
qui c'est ,avancera
mais jai quelque doute
en outre
de cette histoire
mais il faut bien y croire
bad boy- Invité
Re: poémes
Vous êtes de vrais poetes.....
AMOUR VOLE
Toi que j'aimed'un amour caché
secret et
merveilleux
lorsque l'on se retrouve
nous ne formons plus qu'un
nos
corps nos coeurs
tout s'enflamme
comme un brasier
je t'aime sans
pouvoir le montrer
toi aussi
c'est difficile mais tellement fort
nos
rendez vous
nos coeurs qui battent
par l'angoisse
la peur
tout cela
c'est notre histoire
c'est notre bonheur
nos instants à nous
à nous
seuls
je t'aime.
J'adore ce poeme qui dit ce qu'il veut dire
AMOUR VOLE
Toi que j'aimed'un amour caché
secret et
merveilleux
lorsque l'on se retrouve
nous ne formons plus qu'un
nos
corps nos coeurs
tout s'enflamme
comme un brasier
je t'aime sans
pouvoir le montrer
toi aussi
c'est difficile mais tellement fort
nos
rendez vous
nos coeurs qui battent
par l'angoisse
la peur
tout cela
c'est notre histoire
c'est notre bonheur
nos instants à nous
à nous
seuls
je t'aime.
J'adore ce poeme qui dit ce qu'il veut dire
fleur bl- Invité
Re: poémes
bon poeme en veux tu en voilà :p
Je vois la mon rêve
Ce doux rêve qui s’achève
On m’a empêché de rêver
Comme interdit à d’autres de crier
Tout s’est envolé, ma foi, mon espoir
C’est parti au fond du couloir
Quand j’essaye de partir
La porte ne veut plus s’ouvrir
Ah ! Suis-je vraiment maudite ?
Suis-je vraiment trop petite ?
Trop petite pour vivre ça ?
Moi je ne le pense pas !
pour colombian sache que le vers libre est autorisé :p
Le désespoir de la nuit
Me rappelle les ténèbres infinis
Et quand dehors tout s’endort
J’y repense encore et encore
On aurait pu rêver ensemble
Mais tu as refusé il me semble
Et ma vie s’est arrêté
Quand tu m’as repoussée
Tu es la victime et moi l’accusée
Accusée du crime de t’aimer
Toi victime d’être aimé trop
Tu m’as tuée rien qu’avec des mots
Je vois la mon rêve
Ce doux rêve qui s’achève
On m’a empêché de rêver
Comme interdit à d’autres de crier
Tout s’est envolé, ma foi, mon espoir
C’est parti au fond du couloir
Quand j’essaye de partir
La porte ne veut plus s’ouvrir
Ah ! Suis-je vraiment maudite ?
Suis-je vraiment trop petite ?
Trop petite pour vivre ça ?
Moi je ne le pense pas !
pour colombian sache que le vers libre est autorisé :p
Le désespoir de la nuit
Me rappelle les ténèbres infinis
Et quand dehors tout s’endort
J’y repense encore et encore
On aurait pu rêver ensemble
Mais tu as refusé il me semble
Et ma vie s’est arrêté
Quand tu m’as repoussée
Tu es la victime et moi l’accusée
Accusée du crime de t’aimer
Toi victime d’être aimé trop
Tu m’as tuée rien qu’avec des mots
Re: poémes
Tu es là, près de moi ;
Je cille croyant à une hallucination.
Je suis là, près de toi,
Tu provoques l’effondrement de ma prison.
Je cille croyant à une hallucination.
Je suis là, près de toi,
Tu provoques l’effondrement de ma prison.
Tu esquisses un sourire ;
Une chaleur infinie s’empare de moi.
Je te rends ton sourire ;
Tu le sais bien, je suis entièrement à toi.
Une chaleur infinie s’empare de moi.
Je te rends ton sourire ;
Tu le sais bien, je suis entièrement à toi.
Dans ta délicatesse ;
Ta douce main saisit la mienne encor gelée.
Mon cœur est tout en liesse ;
Tu m’attires contre toi, je reste étonnée.
Ta douce main saisit la mienne encor gelée.
Mon cœur est tout en liesse ;
Tu m’attires contre toi, je reste étonnée.
Je ferme les paupières ;
J’écoute les tendres battements de ton cœur.
Je fais une prière ;
Afin de ne pas rêver, hélas, j’en ai peur.
J’écoute les tendres battements de ton cœur.
Je fais une prière ;
Afin de ne pas rêver, hélas, j’en ai peur.
Sous la Lune gênée ;
Tu resserres ton étreinte sentant ma crainte.
Sous la nuit étoilée ;
De mes deux pupilles je t’insinue ma plainte.
Tu resserres ton étreinte sentant ma crainte.
Sous la nuit étoilée ;
De mes deux pupilles je t’insinue ma plainte.
Nos esprits fusionnés ;
Je sens ton souffle chaud caresser mon visage.
Mon voeu fut exaucé ;
Tes lèvres roses déposèrent un baiser sage.
Je sens ton souffle chaud caresser mon visage.
Mon voeu fut exaucé ;
Tes lèvres roses déposèrent un baiser sage.
Toute magie prend fin ;
Tel un papillon, l’illusion est éphémère.
Chaque rêve à sa fin ;
Sache que mon amour pour toi ne sait se taire.
Tel un papillon, l’illusion est éphémère.
Chaque rêve à sa fin ;
Sache que mon amour pour toi ne sait se taire.
Re: poémes
L'AUBE SPIRITUELLE de Baudelaire
Quand chez les débauchés l'aube blanche et vermeille
Entre en société
de l'Idéal rongeur,
Par l'opération d'un mystère vengeur
Dans la
brute assoupie un ange se réveille ;
— Des Cieux
Spirituels l'inaccessible azur,
Pour l'homme terrassé qui rêve encore et
souffre,
S'ouvre et s'enfonce avec l'attirance du gouffre.
Ainsi,
chère Déesse, Être lucide et pur,
Sur les débris
fumeux des stupides orgies,
Ton souvenir plus clair, plus rose, plus
charmant,
A mes yeux agrandis voltige incessamment.
Le soleil a noirci les flammes des bougies ;
— Ainsi, toujours
vainqueur, ton fantôme est pareil,
Ame resplendissante, à l'immortel
soleil !
Quand chez les débauchés l'aube blanche et vermeille
Entre en société
de l'Idéal rongeur,
Par l'opération d'un mystère vengeur
Dans la
brute assoupie un ange se réveille ;
— Des Cieux
Spirituels l'inaccessible azur,
Pour l'homme terrassé qui rêve encore et
souffre,
S'ouvre et s'enfonce avec l'attirance du gouffre.
Ainsi,
chère Déesse, Être lucide et pur,
Sur les débris
fumeux des stupides orgies,
Ton souvenir plus clair, plus rose, plus
charmant,
A mes yeux agrandis voltige incessamment.
Le soleil a noirci les flammes des bougies ;
— Ainsi, toujours
vainqueur, ton fantôme est pareil,
Ame resplendissante, à l'immortel
soleil !
fleur bl- Invité
Re: poémes
LE VIN DES AMANTS de Baudelaire
Aujourd'hui l'espace est splendide !
Sans mors, sans éperons, sans
bride,
Partons à cheval sur le vin
Pour un ciel féerique et
divin
Comme deux anges que torture
Une implacable
calenture,
Dans le bleu cristal du matin
Suivons le mirage
lointain !
Mollement balancés sur l'aile
Du tourbillon intelligent,
Dans un délire parallèle,
Ma sœur, côte à côte nageant,
Nous fuirons sans repos ni
trêves
Vers le Paradis de mes rêves !
Aujourd'hui l'espace est splendide !
Sans mors, sans éperons, sans
bride,
Partons à cheval sur le vin
Pour un ciel féerique et
divin
Comme deux anges que torture
Une implacable
calenture,
Dans le bleu cristal du matin
Suivons le mirage
lointain !
Mollement balancés sur l'aile
Du tourbillon intelligent,
Dans un délire parallèle,
Ma sœur, côte à côte nageant,
Nous fuirons sans repos ni
trêves
Vers le Paradis de mes rêves !
fleur bl- Invité
Re: poémes
Le dernier oui j'adore Baudelaire
LE JEU de Baudelaire
Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles,
—Fronts poudrés,
sourcils peints sur des regards d'acier,—
Qui s'en vont brimbalant à
leurs maigres oreilles
Un cruel et blessant tic-tac de balancier ;
Autour des verts tapis des visages sans lèvre,
Des lèvres
sans couleur, des mâchoires sans dent,
Et des doigts convulsés d'une
infernale fièvre,
Fouillant la poche vide ou le sein palpitant ;
Sous de sales plafonds un rang de pâles lustres
Et d'énormes quinquets projetant leurs lueurs
Sur des fronts ténébreux de
poètes illustres
Qui viennent gaspiller leurs sanglantes sueurs :
— Voilà le noir tableau qu'en un rêve nocturne
Je vis se
dérouler sous mon œil clairvoyant ;
Moi-même, dans un coin de l'antre
taciturne,
Je me vis accoudé, froid, muet, enviant,
Enviant de ces gens la passion tenace,
De ces vieilles putains la
funèbre gaîté,
Et tous gaillardement trafiquant à ma face,
L'un de
son vieil honneur, l'autre de sa beauté !
Et mon cœur
s'effraya d'envier le pauvre homme
Qui court avec ferveur à l'abîme
béant,
Et, soûlé de son sang, préférerait en somme
La douleur à la
mort et l'enfer au néant !
LE JEU de Baudelaire
Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles,
—Fronts poudrés,
sourcils peints sur des regards d'acier,—
Qui s'en vont brimbalant à
leurs maigres oreilles
Un cruel et blessant tic-tac de balancier ;
Autour des verts tapis des visages sans lèvre,
Des lèvres
sans couleur, des mâchoires sans dent,
Et des doigts convulsés d'une
infernale fièvre,
Fouillant la poche vide ou le sein palpitant ;
Sous de sales plafonds un rang de pâles lustres
Et d'énormes quinquets projetant leurs lueurs
Sur des fronts ténébreux de
poètes illustres
Qui viennent gaspiller leurs sanglantes sueurs :
— Voilà le noir tableau qu'en un rêve nocturne
Je vis se
dérouler sous mon œil clairvoyant ;
Moi-même, dans un coin de l'antre
taciturne,
Je me vis accoudé, froid, muet, enviant,
Enviant de ces gens la passion tenace,
De ces vieilles putains la
funèbre gaîté,
Et tous gaillardement trafiquant à ma face,
L'un de
son vieil honneur, l'autre de sa beauté !
Et mon cœur
s'effraya d'envier le pauvre homme
Qui court avec ferveur à l'abîme
béant,
Et, soûlé de son sang, préférerait en somme
La douleur à la
mort et l'enfer au néant !
fleur bl- Invité
Re: poémes
Tu veux que je t'ecrive un poème alors oui je vais le faire quand les Fleurs du Mal ne hanteront plus ma tête.... Baudelaire, il n'y a rien de tel..........................
fleur bl- Invité
Re: poémes
mse que c jolie tous ces poeme yen na certain que vou avez marquer que je balancerai a des futur fille mdr
bad boy- Invité
Re: poémes
pour moi finis les poemes
maintenant c'est la chanson...
mais je mettrais aucun texte ici =p
maintenant c'est la chanson...
mais je mettrais aucun texte ici =p
Re: poémes
POEME COQUIN A lire jusqu'à la fin...
La première
fois quand je l'ai vue
J'ai tout de suite remarqué son regard
J'en étais
complètement hagard
Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit : il
faut que je l'aborde
Pour voir si tous les deux on s'accorde
J'ai
déposé mon baluchon
Alors j'ai vu tes gros yeux doux
J'en suis dev'nu un
peu comme fou
Quand je t'ai dit que tu me plaisais
Que j'aimerais bien
te revoir
Tu m'as donné rendez-vous le soir
Et je t'ai dit Oh
Penelope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t'aimerai toute ma
vie
Quand dans ce lit de marguerites
Tu m'as caressé doucement la
tête
Ma vie entière est une fête
Et sous les regards de la
foule
J'ai posé ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n'est pas
malsain
A l'ombre des eucalyptus
Je t'ai dit : je veux que tu me
suives
Je te sentais d'humeur lascive
Alors comme ça dans les
tulipes
Tu m'as fait une petite promesse
Gage d'affection et de
tendresse
Si notre amour devait céder
Je n'aurais plus qu'à me faire
prêtre
Je ne pourrais jamais m'en remettre
Car si un jour notre amour
rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que
toi
Maintenant changez la fin du second vers de chaque strophe pour qu'il
rime avec le premier vers plutôt qu'avec le troisième vers. (vous allez voir,
les mots viennent très vite...)
La première
fois quand je l'ai vue
J'ai tout de suite remarqué son regard
J'en étais
complètement hagard
Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit : il
faut que je l'aborde
Pour voir si tous les deux on s'accorde
J'ai
déposé mon baluchon
Alors j'ai vu tes gros yeux doux
J'en suis dev'nu un
peu comme fou
Quand je t'ai dit que tu me plaisais
Que j'aimerais bien
te revoir
Tu m'as donné rendez-vous le soir
Et je t'ai dit Oh
Penelope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t'aimerai toute ma
vie
Quand dans ce lit de marguerites
Tu m'as caressé doucement la
tête
Ma vie entière est une fête
Et sous les regards de la
foule
J'ai posé ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n'est pas
malsain
A l'ombre des eucalyptus
Je t'ai dit : je veux que tu me
suives
Je te sentais d'humeur lascive
Alors comme ça dans les
tulipes
Tu m'as fait une petite promesse
Gage d'affection et de
tendresse
Si notre amour devait céder
Je n'aurais plus qu'à me faire
prêtre
Je ne pourrais jamais m'en remettre
Car si un jour notre amour
rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que
toi
Maintenant changez la fin du second vers de chaque strophe pour qu'il
rime avec le premier vers plutôt qu'avec le troisième vers. (vous allez voir,
les mots viennent très vite...)
fleur bl- Invité
Re: poémes
mdrrr c'est très malsain les rimes que j'ai faites avec xD
mais je connaissais ce poeme
vraiment très ..... cokin xD
mais je connaissais ce poeme
vraiment très ..... cokin xD
Re: poémes
Voilà un poème pour toi ti bouriquet.
Eric
Quelquefois colérique
très émotif
tu parais impressionant
mais au fond de toi tu es si doux
Tu comprends tout
avant les autres
tu recherches la tendresse et l'amour
tu es si sensibles
tu franchis la vie
comme un conquérant
sans jamais baisser les bras
tu es formidable
Continue ainsi
vis ta vie
avec force et bonheur
Nounours- Invité
Re: poémes
Si la loi des amours saintement nous assemble,
Avec un seul esprit nous faisant respirer,
L'outrage du malheur se peut-il endurer,
Qui si cruellement nous arrache d'ensemble ?
Je ne vous vois jamais, mon coeur, que je ne tremble,
Appréhendant l'effort qui nous doit séparer :
Et n'ose bien souvent vos regards désirer,
Tant l'éclipse qui suit ténébreuse me semble !
Toutefois quand les corps n'ont moyen de se voir
L'âme pourtant n'est serve, et peut à son vouloir
Voleter invisible où la guident ses flammes.
Chassons donc notre angoisse, ô seul bien de mes yeux,
Et vivant désormais comme l'on vit aux cieux,
Sans plus penser aux corps, faisons l'amour des âmes
je t aime manon
Avec un seul esprit nous faisant respirer,
L'outrage du malheur se peut-il endurer,
Qui si cruellement nous arrache d'ensemble ?
Je ne vous vois jamais, mon coeur, que je ne tremble,
Appréhendant l'effort qui nous doit séparer :
Et n'ose bien souvent vos regards désirer,
Tant l'éclipse qui suit ténébreuse me semble !
Toutefois quand les corps n'ont moyen de se voir
L'âme pourtant n'est serve, et peut à son vouloir
Voleter invisible où la guident ses flammes.
Chassons donc notre angoisse, ô seul bien de mes yeux,
Et vivant désormais comme l'on vit aux cieux,
Sans plus penser aux corps, faisons l'amour des âmes
je t aime manon
Super!.N- Invité
funchat :: BLABLA :: ACTUALITES :: littérature
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum