La Depression n'est pas une illusion
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La Depression n'est pas une illusion
Je vais vous parler d'un fléau qui conduit a des extremes tous les jours...
J'ai discuté hier soir avec une tite personne qui à cause d'un de nos Membres est en train de devenir une loque humaine... Comment un être peut arrivé à transformer une femme équilibrée, et apparemment pleine de joie de vivre, en un déchet qui ne cherche et n'attends plus rien...
Comment quelqu'un peut amener une personne amoureuse à se détruire, détruire son entourage, détruire sa vie et la laisser s'enfoncer dans des difficultés tellement profondes qu'elle ne pourra jamais en sortir... difficultés physiques mais aussi matérialistes...
Je haie le machiavélisme de ces hommes qui pour leur propre profit, détruise une vie, et tout cela pas malhonneteté, que pour leur propre profit, sans ce soucier de ce que peut éprouver l'autre...
Mais en voyant l'état de cette personne hier soir, je me suis aperçue que nous n'etions pas à l'abri de cela, et qu'il y aura toujours des personnes qui perfereront détruits les autres pour combler les perversités, tout cela car ils ne savent pas jouir de ce qu'ils ont, qu'ils veulent plus toujours plus, sans ne porter aucun intérêt à l'autre, et en jouant de malhonneteté, de sous-entendus, et de mensonges....
Qu’est-ce que la dépression ?
La dépression est un trouble de l’humeur qui s’accompagne d’une
détresse morale plus ou moins grave. La maladie se manifeste par des épisodes
aigus, parfois chroniques, durant lesquels le dépressif éprouve des sentiments
de tristesse, de malheur. Ces sentiments sont certes communs, chacun d’entre
nous les éprouve sa vie durant. Mais dans le cas du déprimé, ils sont
particulièrement intenses, quotidiens et durables. Selon sa gravité, la
dépression bouleverse plus ou moins profondément le comportement du malade dans
ses activités quotidiennes, ses relations avec autrui.
Les symptômes sont à la fois
psychologiques et physiques. Ensemble, ils traduisent une baisse de l’énergie
vitale. Les principaux symptômes de la dépression sont :
Le déprimé est la proie d’inhibitions psychologiques. Le malade
montre un désintérêt pour les activités quotidiennes, une absence de goût pour
les plaisirs et les relations affectives. Avec la culpabilité et le sentiment
d’inutilité qui s’instaurent, le déprimé se dévalorise ainsi que ses actes
souvent marqués par l’indécision. Les capacités intellectuelles sont diminuées
et la concentration est plus difficile.
Les symptômes physiques consistent en divers dysfonctionnements de
l’organisme : le malade peut prendre ou perdre du poids. Le sommeil est
perturbé, par des insomnies ou, à l’inverse, des hypersomnies. Dans le même
temps le malade ressent une fatigue ou une perte d’énergie. Il peut montrer par
ailleurs une hyperactivité ou au contraire un ralentissement de ses activités
habituelles. Sa vie sexuelle est souvent affectée par une baisse de la
libido.
Les dépressions les plus graves sont caractérisées par des pensées
suicidaires. Le suicide n’est pas forcément lié à la dépression mais il en est
la complication majeure. La maladie peut entraîner une souffrance morale et un
isolement tels que le patient passe à l’acte. Le suicide peut être aussi un
moyen d’appeler à l’aide, d’attirer l’attention. On évoque donc parfois des
suicides délibérément ratés. Ces tentatives de suicides sont bien souvent
suivies de récidives fatales. En France le nombre des suicides est important. Il
est à l’origine de plus de 10000 décès (soit 2,1% de leur nombre total). Les
troubles psychologiques, et parmi eux la dépression, en sont la cause
majeure.
De quoi s’agit-il ?
C’est l’acte de se donner la mort volontairement. Cela dit, le
suicide, ou plus exactement le geste suicidaire, ne relève pas toujours, loin
s’en faut, d’une volonté personnelle autodéterminée au sens philosophique du
terme.
De tout temps, les épreuves et les drames ont débordé la
résistance des personnes, menant à des suicides autant qu’à des abandons à la
mort qui y ressemblent.
Aujourd’hui, le suicide est d’abord une pathologie psychiatrique
décrite comme une crise psychique au cours de laquelle l’agressivité se retourne
contre soi-même et tout cela pour ne pas retourner son agressivité contre la cause réelle de notre mal. Toutes les crises suicidaires n’aboutissent pas à une tentative
de suicide, elle-même plus ou moins réussie. Mais chaque crise suicidaire est à
très haut risque et porte en elle la tendance à la répétition.
Comment la reconnaître ?
La dépression est le premier signe : tristesse, irritabilité ou
abattement, insomnies, abandon des activités habituellement très investies,
alcoolisation et/ou toxicomanie aggravée ou brutale, dénigrement de soi, pleurs
ou indifférence...
Le changement péjoratif de la conduite alerte : il ou elle n’est
pas comme d’habitude. Une accalmie dans une période de souffrance et de
négligence cynique traduit souvent l’imminence d’un passage à l’acte et non une
amélioration de la situation. Pour le suicidaire, c’est effectivement une
"amélioration" puisqu’il a pris une décision, il va mieux.
Attention ce qui précède est vrai des adultes, mais pas des
enfants : ils ne parlent pas : leur développement et leur scolarité
s’effondrent. Les conduites à risque, les imprudences se multiplient, le suicide
se masque par l’accident.
Différentes pathologies psychiatriques sont accompagnées de dépression. Il
s’agit surtout de la mélancolie qui est accompagné d’un état dépressif grave
marqué par une douleur insupportable. Mais aussi des névroses et des psychoses.
Rappelons que la névrose est trouble mental qui n’atteint pas les fonctions
essentielles de la personnalité dont le sujet à conscience. La psychose est une
désorganisation de la personnalité, accompagnée de vision délirante. Le malade
perd le du sens du réel.
J'espère ne pas vous avoir trop ennuyé, mais avec ce sujet je souhaite que chaque personne se rende compte que nous pouvont tous amener une personne à l'extrême en n'etant pas honnête avec elle. Chacun doit prendre ses responsabilités, et à tout vouloir sans rien donner est la pire des choses, ne fallait il pas mieux rester dans sa petite vie tranquille plutôt que d'essayer de voir si tu pouvais l'exalter, sachant que comme le dit le dicton "Il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis" et surtout "que les machiavels qui ne se remettent jamais en cause".
Tout change et il faut comprendre que malgré les principes et les valeurs que nous avons tous, on peut parfois croisé quelqu'un qui nous apporte plus et que là même si on ne le veut pas, nos emotions changent, nos sentiments changent, notre affect change... Et c'est vraiment ça la vie...
A poussé l'autre dans ce fléau, on le pousse à sa destruction et forcément on en payera les conséquences vu que generalement ça éclate....
J'ai discuté hier soir avec une tite personne qui à cause d'un de nos Membres est en train de devenir une loque humaine... Comment un être peut arrivé à transformer une femme équilibrée, et apparemment pleine de joie de vivre, en un déchet qui ne cherche et n'attends plus rien...
Comment quelqu'un peut amener une personne amoureuse à se détruire, détruire son entourage, détruire sa vie et la laisser s'enfoncer dans des difficultés tellement profondes qu'elle ne pourra jamais en sortir... difficultés physiques mais aussi matérialistes...
Je haie le machiavélisme de ces hommes qui pour leur propre profit, détruise une vie, et tout cela pas malhonneteté, que pour leur propre profit, sans ce soucier de ce que peut éprouver l'autre...
Mais en voyant l'état de cette personne hier soir, je me suis aperçue que nous n'etions pas à l'abri de cela, et qu'il y aura toujours des personnes qui perfereront détruits les autres pour combler les perversités, tout cela car ils ne savent pas jouir de ce qu'ils ont, qu'ils veulent plus toujours plus, sans ne porter aucun intérêt à l'autre, et en jouant de malhonneteté, de sous-entendus, et de mensonges....
Qu’est-ce que la dépression ?
La dépression est un trouble de l’humeur qui s’accompagne d’une
détresse morale plus ou moins grave. La maladie se manifeste par des épisodes
aigus, parfois chroniques, durant lesquels le dépressif éprouve des sentiments
de tristesse, de malheur. Ces sentiments sont certes communs, chacun d’entre
nous les éprouve sa vie durant. Mais dans le cas du déprimé, ils sont
particulièrement intenses, quotidiens et durables. Selon sa gravité, la
dépression bouleverse plus ou moins profondément le comportement du malade dans
ses activités quotidiennes, ses relations avec autrui.
Les symptômes sont à la fois
psychologiques et physiques. Ensemble, ils traduisent une baisse de l’énergie
vitale. Les principaux symptômes de la dépression sont :
- Fatigue ou perte d’énergie
- Sommeil perturbé
- Troubles de l’alimentation
- Angoisse
- Sentiment de culpabilité
- Pensées suicidaires
- Humeur triste ou vide
- Autodévalorisation
- Baisse des performances intellectuelles
- Diminution de l’activité sexuelle
Le déprimé est la proie d’inhibitions psychologiques. Le malade
montre un désintérêt pour les activités quotidiennes, une absence de goût pour
les plaisirs et les relations affectives. Avec la culpabilité et le sentiment
d’inutilité qui s’instaurent, le déprimé se dévalorise ainsi que ses actes
souvent marqués par l’indécision. Les capacités intellectuelles sont diminuées
et la concentration est plus difficile.
Les symptômes physiques consistent en divers dysfonctionnements de
l’organisme : le malade peut prendre ou perdre du poids. Le sommeil est
perturbé, par des insomnies ou, à l’inverse, des hypersomnies. Dans le même
temps le malade ressent une fatigue ou une perte d’énergie. Il peut montrer par
ailleurs une hyperactivité ou au contraire un ralentissement de ses activités
habituelles. Sa vie sexuelle est souvent affectée par une baisse de la
libido.
Les dépressions les plus graves sont caractérisées par des pensées
suicidaires. Le suicide n’est pas forcément lié à la dépression mais il en est
la complication majeure. La maladie peut entraîner une souffrance morale et un
isolement tels que le patient passe à l’acte. Le suicide peut être aussi un
moyen d’appeler à l’aide, d’attirer l’attention. On évoque donc parfois des
suicides délibérément ratés. Ces tentatives de suicides sont bien souvent
suivies de récidives fatales. En France le nombre des suicides est important. Il
est à l’origine de plus de 10000 décès (soit 2,1% de leur nombre total). Les
troubles psychologiques, et parmi eux la dépression, en sont la cause
majeure.
De quoi s’agit-il ?
C’est l’acte de se donner la mort volontairement. Cela dit, le
suicide, ou plus exactement le geste suicidaire, ne relève pas toujours, loin
s’en faut, d’une volonté personnelle autodéterminée au sens philosophique du
terme.
De tout temps, les épreuves et les drames ont débordé la
résistance des personnes, menant à des suicides autant qu’à des abandons à la
mort qui y ressemblent.
Aujourd’hui, le suicide est d’abord une pathologie psychiatrique
décrite comme une crise psychique au cours de laquelle l’agressivité se retourne
contre soi-même et tout cela pour ne pas retourner son agressivité contre la cause réelle de notre mal. Toutes les crises suicidaires n’aboutissent pas à une tentative
de suicide, elle-même plus ou moins réussie. Mais chaque crise suicidaire est à
très haut risque et porte en elle la tendance à la répétition.
Comment la reconnaître ?
La dépression est le premier signe : tristesse, irritabilité ou
abattement, insomnies, abandon des activités habituellement très investies,
alcoolisation et/ou toxicomanie aggravée ou brutale, dénigrement de soi, pleurs
ou indifférence...
Le changement péjoratif de la conduite alerte : il ou elle n’est
pas comme d’habitude. Une accalmie dans une période de souffrance et de
négligence cynique traduit souvent l’imminence d’un passage à l’acte et non une
amélioration de la situation. Pour le suicidaire, c’est effectivement une
"amélioration" puisqu’il a pris une décision, il va mieux.
Attention ce qui précède est vrai des adultes, mais pas des
enfants : ils ne parlent pas : leur développement et leur scolarité
s’effondrent. Les conduites à risque, les imprudences se multiplient, le suicide
se masque par l’accident.
Différentes pathologies psychiatriques sont accompagnées de dépression. Il
s’agit surtout de la mélancolie qui est accompagné d’un état dépressif grave
marqué par une douleur insupportable. Mais aussi des névroses et des psychoses.
Rappelons que la névrose est trouble mental qui n’atteint pas les fonctions
essentielles de la personnalité dont le sujet à conscience. La psychose est une
désorganisation de la personnalité, accompagnée de vision délirante. Le malade
perd le du sens du réel.
J'espère ne pas vous avoir trop ennuyé, mais avec ce sujet je souhaite que chaque personne se rende compte que nous pouvont tous amener une personne à l'extrême en n'etant pas honnête avec elle. Chacun doit prendre ses responsabilités, et à tout vouloir sans rien donner est la pire des choses, ne fallait il pas mieux rester dans sa petite vie tranquille plutôt que d'essayer de voir si tu pouvais l'exalter, sachant que comme le dit le dicton "Il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis" et surtout "que les machiavels qui ne se remettent jamais en cause".
Tout change et il faut comprendre que malgré les principes et les valeurs que nous avons tous, on peut parfois croisé quelqu'un qui nous apporte plus et que là même si on ne le veut pas, nos emotions changent, nos sentiments changent, notre affect change... Et c'est vraiment ça la vie...
A poussé l'autre dans ce fléau, on le pousse à sa destruction et forcément on en payera les conséquences vu que generalement ça éclate....
fleur bl- Invité
Re: La Depression n'est pas une illusion
je viens de lire ton sujet je suis à 200 % d'accord avec toi.
etant moi même bipolaire une des maladie de depression je connais par coeur ce sujet.
et aussi ces situations ou l'a m'a brisé le coeur.
etant moi même bipolaire une des maladie de depression je connais par coeur ce sujet.
et aussi ces situations ou l'a m'a brisé le coeur.
Nounours- Invité
Re: La Depression n'est pas une illusion
Je sais mon nounours étant également une névrotique et sachant que différentes causes peuvent me faire tomber dans la mélancolie, le spleen ou la dépression, surtout les causes emotionnelles, affectives, je ne supporte pas qu'on puisse s'amuser avec les sentiments d'autrui...
Je sais que dans le cas du dépression, quand du jour au lendemain, il parait un signe de clairvoyance, de mieux être, ou tout simplement d'acceptation de son état, que le depressif se remet à sourire, là est le danger, là il faut se dire qu'il y a un trés gros problème....
Je serais là toujours pour toi mon nounours, on discutera ce soir si tu veux...
Je sais que dans le cas du dépression, quand du jour au lendemain, il parait un signe de clairvoyance, de mieux être, ou tout simplement d'acceptation de son état, que le depressif se remet à sourire, là est le danger, là il faut se dire qu'il y a un trés gros problème....
Je serais là toujours pour toi mon nounours, on discutera ce soir si tu veux...
fleur bl- Invité
Re: La Depression n'est pas une illusion
oui je pense que tout le monde passe une foi o moin dans sa vie detre en depression mes bon faut etre fort je c que c dure mes faut etre baten
bad boy- Invité
Re: La Depression n'est pas une illusion
mais chacun peut faire une depression dans sa vie, mais il y a des gens qui sont dépressifs chronique et c'est mon cas , j'ai un traitement à prendre à vie et j'ai du mal à supporter cela de savoir que sans traitements j'irai encore plus mal.
Nounours- Invité
Re: La Depression n'est pas une illusion
bon moi sa rien a voir avc toi mes bon moi je suis asmatique et c des maladie con aura toute notre vie mes bon faut vivre avc soi fort mon nounours
bad boy- Invité
Re: La Depression n'est pas une illusion
oui , si j'etais fort je serais pas là entrain de poster à cette heure ci.
Nounours- Invité
Re: La Depression n'est pas une illusion
tout a fait d'accord avec toi mon nounours la depression n'est couparabkle à aucune autre maladie. elle agit tant sur le physique que sur le psychisme.
fleur bl- Invité
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